A propos

Nathalie Baptistal Guedj

psychologue clinicienne

Après une expérience significative d’une dizaine d’années en entreprise privée, j’ai entamé dans les années 2000 une reconversion professionnelle afin d’exercer en tant que psychologue clinicienne[1], en cabinet libéral exclusivement.

Depuis mon installation à Tassin en 2011, je suis généraliste, autrement dit, j’ai choisi de ne pas me spécialiser, au sens où on l’entend communément dans les sphères du soin de notre société contemporaine techniciste.

Pour autant, j’ai tendance à souligner que l’on pourrait me considérer comme une spécialiste du lien dans ses composantes intra et interpsychique, sociale, affective, voire spirituelle.

Présentation

En bref

Nous vivons une profonde mutation sociétale où la réalité virtuelle prend régulièrement le pas sur la réalité de l’intime, où le sens des choses finit par nous échapper. Cette situation exerce une influence sur nous. Selon nos personnalités et contextes de vie, nous avons besoin de nous confier, d’être écouté, de réfléchir, faire le point sur soi, retrouver un sens, une direction ; nous éprouvons malaise, mal-être, rencontrons des difficultés comportementales, cognitives, psychiques, spirituelles …

Cette mutation nous impacte individuellement et collectivement. La cellule familiale est grandement concernée.

Prendre rendez-vous avec un psychologue, psychothérapeute permet alors de créer un espace pour reprendre son souffle, trouver soutien, bienveillance, nouvelle orientation.

L’atmosphère du cadre thérapeutique proposé par le psychologue clinicien, marquée par l’intérêt authentique, l’attention, le soutien, l’absence de jugement, la confiance, la patience, la régularité vous permet :

  • de vous dégager des entraves, du poids du passé,
  • d’augmenter votre aptitude à rester dans le présent,
  • d’ouvrir de nouvelles perspectives pour le futur.

En détail

Notre société, saturée d’images, en pleine mutation, est notamment caractérisée par l’accélération des rythmes de vie et le développement de communications, de consommations et de concurrences tout azimut. Accélération qui, selon les personnes, dépasse, fige, épuise, désespère, provoque des troubles anxieux etc…

 

Ce développement participe à creuser les écarts, à modifier la qualité des liens sociaux, à rendre flous les repères structurants jusqu’à mettre en souffrance psychologique (troubles du comportement, anxiété, angoisse, phobie, harcèlement, stress…), psychosomatique (troubles alimentaires, douleurs…) ou métaphysique (quête de sens, enjeu de vie, spiritualité, deuil…).

 

Le terme « clinique » (du grec klinê) signifie « au chevet du patient ». Vous trouvez dans l’espace thérapeutique une qualité d’attention particulière, un espace d’écoute empathique, un accompagnement psychologique, un travail psychothérapeutique. Le temps de la séance est l’occasion de vous recentrer sur votre être, vos besoins, jusque dans les grandes profondeurs de votre intimité. L’éthique, la déontologie qui me guident vous garantissent une rencontre interpersonnelle authentique ancrée dans le respect de votre demande et fondée sur une réelle implication.

 

Il s’agira de partir de la situation actuelle et d’avancer sur le chemin de la compréhension de la réalité subjective sous jacente, considérant la réalité sociale environnante.

 

Au fil de la psychothérapie vous remarquerez que vous vivez plus facilement les frustrations, que vous appréhendez mieux vos émotions, que votre conscience de vous-même s’améliore, que vous vous distancez plus rapidement des situations. Votre communication est facilitée, vos comportements adaptés, votre confiance et estime de vous s’améliorent. Vous découvrez votre monde intérieur et développez une conception respectueuse de vous-même.

Pour en savoir plus

De formation initiale freudienne, ma sensibilité, mon expérience personnelle et professionnelle m’ont conduite à relativiser le poids de la part de la souffrance résultant des conflits psychiques pulsionnels. J’ai été progressivement menée à pondérer la question du « pourquoi » pour intégrer, voire privilégier un « pour quoi ».

 

Il me parait incontestable que les conditions de notre développement psycho-affectif durant l’enfance participe à l’organisation de notre personnalité. Les enjeux de la vie s’engagent dès les premiers instants.

 

Mais, nous sommes bien plus que le résultat de l’organisation de nos pulsions. L’ouverture théorique est une richesse. Le focus de la  théorie de l’attachement retient en outre toute mon attention (Pour plus d’information : http://institut-parentalite.fr/theorie-de-lattachement/).

 

Pour terminer, je perçois dans le nihilisme du 21èmesiècle, c’est-à-dire  dans le développement de la croyance à l’absurdité, au non-sens de la vie, une source intarissable de souffrance.  La privation de toute spiritualité condamne l’homme à une souffrance métaphysique qui peut être intolérable pour certaines personnes.

 

Michel Foucault, dans son ouvrage L’herméneutique du sujet , définit la spiritualité comme : « la recherche, la pratique, l’expérience par lesquelles le sujet opère sur lui-même les transformations nécessaires pour avoir accès à la vérité ».       

(voir aussihttps://www.cnrtl.fr/definition/ )    

 

J’adhère par expérience concrète à la conceptualisation des anthropologues, philosophes et  théologiens qui considèrent l’homme comme un tout corps-âme-esprit ; et fais volontiers l’hypothèse que nier la part de l’esprit, pourrait bien être un terreau fertile de développement d’une souffrance mal estimée par notre société post-moderne scientiste.

           

Mon approche thérapeutique est intégrative, c’est-à-dire que j’utilise avec discernement et adaptation la richesse théorique et pratique de ma profession.

 

Enfin, ma pratique clinique m’a amenée à remarquer une facilité d’installation de l’alliance thérapeutique avec certains publics. Je citerais notamment : les personnes présentant des problématiques d’attachement, des zones d’intelligence (selon la perspective des intelligences multiples d’O. Gardner) à « haut potentiel » ou de « douance », et une grande, voire extrême sensibilité. Le travail du deuil peut aussi être significativement facilité par ma considération de l’inconscient spirituel.

 

[1] titulaire d’un Master2 «Sciences humaines et sociales», mention «Psychologie», spécialité «Psychopathologie et psychologie clinique» Mon enregistrement au répertoire ADELI, que vous pouvez consulter auprès de l’agence régionale de santé (ARS) Rhône-Alpes, atteste que je suis habilitée à porter ce titre.

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